C’est vendredi 22 mars à 15h30 que Le Belém s’est présenté au large d’Antibes. Il est arrivé dans le port Vauban en grande pompe accompagné par la SNSM, la SRA et le Nath’Soph avec à son bord les caméramans de FR3 qui ont suivi le navire jusqu’au port Vauban.
Après un concert de cornes de brumes, comme le veut la tradition, et accompagné par Nath-Soph comme par un poisson pilote, il a regagné les quais du port Vauban.
Le Belém a été construit en 1896 dans les chantiers Dubigeon à Nantes, c'est un des plus vieux bateaux navigants. A l’occasion de son passage à Antibes, il était ouvert aux visites.
La visite libre du Belem propose un voyage dans le temps guidé par 20 panneaux répartis sur les trois niveaux du navire et imprimés sur des voiles de bateaux. Ces panneaux décrivent l’usage des 17 espaces présentés, tout en rappelant leurs différents rôles et transformations successives.
Quelques "malchanceux" qui n'ont pu accéder à l'intérieur faute de place ont néanmoins pu voir le bateau depuis la mer grâce à Aventure Pluriel à bord du Nath-Soph avec en prime la visite d'"Antibes côté mer" avec les commentaires du patron du bateau à propos des yachts du quai des milliardaires, du port Vauban, des plages et des monuments visibles depuis la grande bleue.
Ces "malchanceux" nous ont raconté leur sortie :
-"J’avais déjà visité le quai des milliardaires quand j’étais plus jeune. Là avec cette sortie, j’en ai appris beaucoup sur son histoire, sur le fonctionnement de votre association et sur la construction de votre bateau."
-"J’hésitais mais je suis vraiment ravie de cette sortie captivante tout au long de la visite par l’histoire du Belém, du port Vauban 21 et de votre bateau si agréable. "
Des commentaires motivants qui nous invitent à persévérer dans l’attente d’une nouvelle visite du Belem !
L'énergie déployée par tous les participants a rendu ces moments de partage et d’échange très forts. Merci à tous les participants.
En attendant, le programme "Antibes côté mer" est accessible à tous les adhérents sur simple demande auprès de Gilbert M., patron du Nath-Soph en lui écrivant à :